Culturopoing.com : « "Flow" n’est pas seulement une expérience visuelle, technique et animaliste unique, c'est aussi un voyage auditif, qui permet de ressentir les matières, textures, densités, écoulements de la nature et entendre les chants, cris et bruits des animaux. » Frédérique Lambert
Rolling Stone : « Derrière la beauté des paysages et un onirisme qui n’est pas sans rappeler celui de l’univers de Miyazaki à l’occasion, l’analogie des comportements humains face à une menace environnementale n’est qu’une des raisons pour apprécier Flow sans réserve. » Xavier Bonnet
L’INFO EN PLUS CINE PARC
Le cinéma de Gints Zilbalodis est influencé par Kubrick, Hitchock, mais aussi Alfonso Cuaron et les premiers films de Paul Thomas Anderson. Bien sûr, il se dit également très imprégné par le maître de l’animation asiatique, Miyazaki. L'un des premiers courts-métrages de Gints Zilbalodis, Aqua, est une ébauche de Flow. "Chacun de mes courts mé-trages m’a aidé à apprendre de nouvelles techniques, et à chaque fois, le suivant était plus abouti. J’ai énormément appris aussi en réalisant mon premier long métrage, Away, dont je suis fier, car il est presque 'mon film de fin d’études', mon diplôme non officiel, pour ainsi dire […] moto. Ce sont ces petites astuces qui m’ont permis de le finaliser seul, exactement comme lorsqu’un jeune réalisateur de films en prises de vues réelles situe l’action de son histoire dans sa ville natale, fait jouer ses amis et tourne la plupart des scènes dans la maison de ses parents !" Toutefois, sur Flow, c’est la première fois qu’il fait appel à une plus grosse équipe. La création de Flow a mis en tout cinq ans et demi, soit deux fois plus que son précédent long-métrage, Away. D’autre part, c’est une habitude depuis son premier court-métrage, Rush (2010), Gints Zilbalodis n’utilise jamais de dialogues, privilégiant davantage la narration visuelle.
Film précédé d’un court métrage : Que Li Passe el Cel – Irene Iborra – Espagne - Animation - 2022