AvoirAlire.com : « Une remise en question existentielle qui nous emmène sur les chemins de traverse entre épreuves et enchantement. Évitant tous les clichés tant photographiques que climatiques ou sociaux, Bergers représente une bouffée d’air pur qui véhicule apaisement et pensées positives. » Claudine Levanneur
Abus de Ciné : « C’est LA bonne surprise du printemps, un feel good movie intelligent, sur le fil du rasoir entre comédie et drame, qui donne envie d’être amoureux et de se rendre en pleine nature. Venue du Québec, où elle a connu un énorme succès, cette comédie dramatique à fond social, séduit d’emblée par la volonté optimiste de son personnage principal. » Olivier Bachelard
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Sophie Deraspe a découvert le roman de Mathyas Lefebure en 2015 et a aussitôt été séduite par l’humour et la critique sociale qui se dégageait du récit en partie auto-biographique de l’auteur. « J’aimais cette idée de voir un personnage changer de vie en se disant qu’il y a quelque chose qui l’appelle dans un autre monde qui est complètement différent du sien. Berger, c’est un métier d’une autre époque, qui requiert une vie de nomade », souligne la cinéaste qui rappelle cependant avoir pris beaucoup de libertés en s’appropriant l’œuvre de Mathyas Lefebure. « Pendant la préparation du tournage, on a vécu une pandémie qui nous a fait réaliser que notre monde pouvait basculer d’un jour à l’autre. Puis il y a eu des guerres et une crise climatique. Pour toutes ces raisons, je me suis donné la mission de faire un film qui fait du bien. J’avais envie que les spectateurs soient transportés et vivent des choses parfois difficiles, parfois brutes, mais souvent sublimes. Je voulais qu’en sortant de la salle de cinéma, ils aient envie de vivre.»
Film précédé d’un court métrage
